Je referme à l’instant les 300 pages de Karine Giébel, les morsures de l’ombre. Je ne sais plus comment interpréter cette auteure tellement je la trouve intrigante : je passe de l’ennui avec Satan était un ange, trop long et flanqué de dialogues qui nous perdent presque puis je tombe amoureuse du purgatoire des innocents. […]
Je referme à l’instant les 530 pages de Michael Robotham avec son livre Le suspect. Ce doit être parce que ma lecture s’est écoulée sur deux semaines qu’il m’a paru un peu long (oui il faut que je trouve un point négatif, sinon, c’est moins intéressant et on va croire que j’encense l’auteur…). Bref, malgré […]